Tournant de la vie d'un barbare déchu [Zorg]

Un tas de pierre dans un désert,
Un tas de bière dans une glacière.

Les rêves se fondaient avec la réalité et Zorg ne savaient pas réellement ce qui était vrai de ce qui était faux. il n'avait qu'une seule certitude, il faisait chaud, et heureusement que la bière était là, non ! elle n'y était pas, Mais il était tranquille dans le Norsca, chez sa mère qui a préparé un bon gibier, comme chaque vendredi soir... A moins que...Tout était vague dans sa tête, mais alors que tout lui échappait, il commença à se raccrocher au fils du temps, l'attaque du village, le Chao, l'armure qui la pervertie, la torture, être aveugle, le bateau, l'hydre, la protection du village, le village aux colosse, l'armée de rats, la perversion et la suprématie de la hache sur son corps, le départ pour un autre continent, l'Effrit, la pyramide, le pharaon et... Oui et c'est tout, mais que faisait-il allongé par terre en plein désert ? Il n'en savait rien, mais ce cours instant où toutes ses aventures depuis l'attaque de son village se sont mise à défiler devant ses yeux, lui a permis de comprendre qu'il n'avait jamais voulu se comporter comme ça, mais que l'aspect de puissance qui se dégageait de l'armure et de la hache l'avait abusé. Maintenant qu'il avait le contrôle total son être, il avait prit la décision de redevenir ce qu'il était avant et même mieux abattre les perversions du même genre que l'armure, la hache, et même que la masse d'arme qu'il possédait.

Admin Messages : 35 Date d'inscription : 05/10/2011

[je sais ça fait pas trop RP, mais on va accélérer le début de la quête!]

Zorg était perdu dans un tourbillon. Tous ses souvenirs se fondaient les uns dans les autres, il avait l'impression d'être victime d'hallucination. Il se souvenait s'enfuir de la pyramide et de sentir le soleil sur sa peau mais après plus rien... Mais peut-être était-il encore dans ce vide où l'armure ou la hache l'enfonçait pour prendre le contrôle de son corps.

Alors qu'il se débattait, il entendit une voix : "La fièvre ne tombe pas... Il a du mal à refaire surface... Peut être que..."
Un rêve? Le barbare tenta d'ouvrir les yeux. Il crut apercevoir des ombres...

Zorg rêvait. Il se retrouvait dans une grotte luisante d'humidité. Un puit naturel laissait passer l'éclat brillant du soleil. Tout autour de lui, les pierres baignaient dans un liquide écarlate... Une araignée passa sous sa botte. Dans un réflexe, il l'écrasa.

Le demi-elfe se réveilla en sursaut. Des sueurs froides lui coulaient dans le dos.
Il se trouvait allongé sur des couvertures. Autour de lui, les murs en pierre ocre servaient de décor aux ombres dansantes des flammes d'un feu. Près de ce feu se trouvait une personne accroupie. Et de l'autre côté de cette personne, il y avait une table sur laquelle était posée, emmaillotée, sa hache. En regardant vers sa droite, il pouvait percevoir un couloir qui semblait remonter vers la lumière du jour.

C'est alors que Zorg vit deux yeux luire. Ces yeux dorés ne cillaient pas. Allongé près de la silhouette accroupie, le félin ronronnait. Il devait mesurer dans les 80 centimètres et possédait un pelage sable. Le gros chat s'arrêta de ronronner et la silhouette se retourna, intriguée:

"-Vous voilà enfin réveiller mon cher? cela fait plus de 4 jours que vous gigotez sur votre lit. Je ne sais pas combien de temps encore j'allais devoir rester ici... Allez vous bien?"

Zorg s’éveilla et tomba nez à museau d'un félin, surpris il porta la main à sa ceinture, mais les ronronnements du félin le calmèrent rapidement, il n'était pas en danger.

Il reposa sa tête sur l’oreiller sans ce poser de question quand une voix l'intrigua. Il mit du temps à comprendre ces paroles pourtant simple, il ne pu identifier la silhouette qui était découpé par l'éclat du naturel du soleil. Il regarda autour de lui, rien n'indiquait l’endroit où il se trouvait. Cela aurait pu être n'importe où.

Mais le calme et le silence rompu seulement par les gouttes d'eau qui tombaient, étaient apaisant et relaxant. Il n'avait pas envie de casser l'ambiance, mais il se sentait obligé de répondre à la personne.

Je crois Et en effet il le croyait, il se sentait bien, malgré le fait qu'il ne sentait pas réellement encore tout son corps.

Où suis-je ? La pyramide est où ? Et les autres vous les avez vu ?

» Zorg l'affreux homme rouge aux poils blanc.