L'invasion - Partie Edias

Encore choqués de leur rencontre avec l'Esprit des Bois, Edias et Orik se laissèrent guider pas Lhyssité pour sortir de la forêt. Arrivés au village, Edias et Orik décidèrent de se séparer, et ainsi remplir plus efficacement la mission donnée par l'Esprit de Bois. Après de courte salutations, ils partirent chacun dans une direction. La fée Lhyssité, voyant les deux êtres l'ayant sauvés, se vit déchirée. Elle se décida finalement à accompagner le Rôdeur, il lui rappelait plus son milieu naturel. Edias s'engagea donc sur un chemin. Un petit vent frais semblait le pousser par derrière, se faisant courber l'herbe sur le bord du chemin de terre sur lequel il progressait, jouant avec le soleil à cache-cache avec les nuages. A droite, la foret se prolongeait le long du chemin, les feuilles bruissant dans le vent, à gauche après, un petit fossé, s'étendait un champ labouré. Les paysans du village devaient sûrement être entrain de semer lorsqu'ils se sont fait capturés, puis ... Mieux valait ne pas y penser.

Sentant son malaise, la fée Lhyssité se posa sur son épaule pour le réconforter et discuter avec lui.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Edias Proposa à lhyssité de dormir avant de partir. Ce qu'ils firent.
La nuit fuit longue et combler de rêve étrange surtout pour le rôdeur qui se leva avec une trique du tonnerre, il se souvenait d'un village où il y avait une fête et d'avoir bien profité de la nuit, Bref c'était un rêve... pas la réalité.

Lhyssité était déjà réveillée, en train de boire la rosé du matin qui perlait le long des fleurs et brins d'herbes.

Edias se parât de son arc et senti une sensation bizarre, il ne se posa pas plus de question et le rangea à porté de main.

En route Lhyssité, le chemin et tracé nous n'avons pas le choix, découvre le monde extérieur et n'ai peur de rien, je suis la .

Il continua sur le chemin en direction d'information pour connaitre les lieux de conflits

Après quelques heures de marche, la forêt disparut sur la droite, comme avalée, laissant libre l'herbe folle ondoyer au gré du vent, comme une mer végétale. Le chemin continua ainsi pendant plus d'une heure, laissant apparaitre loin sur la droite, à une journée de marche à vu de nez, une montagne. Dès que Lhyssité aperçut cette étrange et gigantesque formation rocheuse, elle se mit à parler comme un moulin à parole :

Oh !! C'est quoi là-bas ? C'est une montagne ? C'est donc à ça que ça ressemble ? C'est la-dedans que les gobelins y vivent ? On en verra tu penses ? ...

Peux de temps après le chemin se sépara en deux, une partie s'en allait droit vers la montagne, tandis que l'autre continuait tout droite.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Oui c'est une montagne. Mais tu sais, elle ne sont pas toutes forcement habitées par des gobelins. Tu écoutes trop les histoires petite fée. Bon il faut décidé d'une destination. On va éviter les montagnes, il y a trop de brigands la bas, et il fait froid en altitude. Continuons tout droit.

Et la fée de rétorquer :

Des brigands ? Chouette je veux des brigands ? steuplait !!! Et souviens de ta promesse faite à l'arbre ! Tu dois arrêter tous les combats, alors i il y a des brigands, il y a des combats, et puis moi je veux voir la montagne !!

Elle s'assit sur l'épaule du Rôdeur et commença à bouder.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

il m'a dit d’arrêter les guerres, pas les petites escarmouches de chemins, et si l'on s’amuse à vouloir arrêter tout les menus combat, jamais nous n'iront de l'avant et l'année s'écoulera sans aucuns résultats de ma part.

Allons de l'avant, tu verras des paysage encore plus magnifique que la montagne, les vignes verdoyantes, la mer, l'océan. Nous irons à la montagnes si nous avons de la compagnie ou pas le choix.

Edias continuera tout droit.

Après une longue journée de marche, le soleil commençait a se coucher ses rayons rougeoyant illuminaient les alentours d'une teinte surnaturelle. Les bruissements de la forêt alentours n'augurait de bons présages quant aux intentions des animaux nocturnes commençant à se réveiller. Au détour du chemin que Edias et Lhyssitée suivaient, qui, soit dit en passant, se déplaçait dos à la route, les bras croisés sur sa menue poitrine, tombèrent sur une auberge. Elle semblait avoir subi plus d'une attaque, car les murs, bien que renforcés avaient subi des dommages. Ce qui était bizarre, c'est qu'aucun bruits ne filtraient de la porte ni aucune lumière n'éclairait l'entrée.

Lhyssitée, jetant un coup d’œil par dessus son épaule s'exclama :

Oh une auberge !! On rentre dit dit dit ? Si on va pas voir les brigands dans la montagne, alors on va dans une auberge !

Et elle s'élança sans attendre le rôdeur.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

D'accord mais reste près de moi et soit prudent.
Le rodeur s'approcha de la porte arc à la main. et colla son oreille contre la porte pour entendre. Cette auberge délabré ne sentait pas bon. Il fit signe de se taire à la fée.

[ 20 ( non naturel) en perception auditive]

d8 Messages : 94 Date d'inscription : 09/10/2011 Age : 33 Localisation : Lulea

Rien ne perçait le silence de l'auberge. Si ! Quelque crissements imperceptibles s'élevaient de l'intérieur de l'auberge. Ami, ennemi, ou simplement une porte que le vent devait faire grincer ? Edias ne pouvait le deviner. A côté la fée s’impatientait :

Bon ! On y va ? J'en ai marre de me tourner les pouces.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Attend deux secondes chuchota Edias à la fée.

Quand grâce au lien mental le rôdeur envoya son serpent vérifier se qu'il y avait à l'intérieur en étant discret. Le serpent sorti de la manche de son bras pour se glisser le long de la jambe jusqu'au sol. Le serpent se faufila dans la lugubre taverne, par l'une des fissure du mur. les reflets vert du serpents se perdaient dans le noir de la nuit, mais les yeux jaunes du serpent voyait comme en plein jour et les échanges d'images se faisait d'animal à individu.

Cob me dira ce qu'il y a à l'intérieur, il vaut mieux être prudent et éviter le dangé quand c'est possible.

[jet d'intelligeance = 9]

Les images que le serpent envoyèrent au Rôdeur étaient très floues, et très sombres. Il ne pouvait rien distinguer de correct, des masses indistinctes peuplaient la salle, peut-être des tables, peut-être des personnes, il ne savait pas. Le bruit répétitif se faisait toujours entendre, mais avec quelques grognements en plus. Les grognements semblaient provenir du haut.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Edias fit comprendre au serpent de revenir et dit à la fée :

ça grogne à l'intérieur, je ne sais pas quel bestiole est à l'intérieur mais vos mieux continuer notre chemin et dormir dehors, on alternera les tour de garde, de toute manière je préfère dormir dehors.

Edias et Lhyssitée continuèrent à marcher un moment jusqu'à trouver un endroit propice à s'installer pour la nuit. Arrivé sur place. Il commença le premier tour de garde et laissa la petite fée s'endormir

[Alternance de 2h entre chaques personnes]

Après une nuit calme, alors que le soleil se levait, le rôdeur et la petite fée rejoignirent la route.

[jet de détection]

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

[detection 22]

Edias n'avait pas prit la dernière relève, c'est Lhyssité qui la réveilla d'une pression de ses pieds contre sa joue.
gneeeeeeee
elle recommença jusqu'à ce qu'il se réveilla. Edias s'étira et regarda autour de lui, dans le jour ce lieu semblait plus exposé que ce qu'il pensait durant la nuit, voyant sa paillasse un peu désordonnée, il se douta que son dernier rêve à du être un cauchemar, mais il ne s'en souvenait plus. Il décida de ranger sa paillasse soigneusement, puis prit un petit déjeuné et remarqua qu'il n'avait presque plus de vivre... il allait devoir en acheter ou en trouver.
Puis Lhyssité virevoltant de son bourdonnement habituel, ils reprirent la route.

Alors qu'ils marchaient tranquillement, ils entendirent distinctement des grincements de bois, des entrechoquements d'aciers entre eux, le bruit du cuir claquant dans la matinée et enfin, mais non moins le plus horrible, les cris et gémissements humains.

Et tout ce beau monde se rapprochait.

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Le rôdeur au bruits que faisaient les hommes au loin, mis sa cape sur sa tête et dit à la fée de s'engouffrer en dessous de sa capuche, puis il alla se cacher derrière un arbre discrètement. et regarda ce qu'il se passait sur les chemins.

[Jet de discrétion : 20 ( 4 + 16)]

Le bruits ce faisait de plus en plus proche, des gémissements angoissants des êtres au loin faisaient trembler la petite fée contre sa joue. Le rôdeur resta calme et rassura la fée de 2 mots. L'arc prêt dans sa main gauche, caché sous sa cape. Edias était paré dans le cas où il s'agissait de personnes malveillantes envers lui.

Plus cela se rapprochait, plus le bruit était languissant, les claquements de fouet se faisaient plus cruels, les cris plus souffrants et tristes et les grincements horribles. Edias et Lhyssité virent enfin arriver un l'objet de l'horreur. Un chariot grossissait au fur et à mesure qu'il approchait. C'était un chariot grillagé, dans lequel était transporté des personnes avachies les unes sur les autres, en haillon, certaines avec des bandages pas très frais, sanglotantes ou apitoyées sur leur sort. Le pire, c'était que le chariot était tiré par des humains, en plus mauvais état encore. Il étaient aranachés au chariot de la méme facon que les cheveaux, un mors dans la bouche et une barre devant chacun d'eux pour pousser le chariot. Des hommes se reposaient sur le dessus de la cage, se marrant jetant des choses diverses et variés sur personnes en contrebas, se moquant d'eux. Trois ou quatres hommes escortaient le chariot sur des chevaux. Un esclavagiste était assis sur le siège du cocher et fouettait les 'chevaux' :

Allez ! Plus vite que ca ! On doit être arrivé avant ce soir au camp ! Le maître attends sa livraison !

Exspéré devant la lenteur du chariot, il l'arreta et commenca à détacher les esclave dans le but de les remplacer. Il héla ses compagnons :

Vous ! Sortez moi des esclaves frais pour emplacer ceux là !

A côté d'Edias, Lhyssité regardait avec incompréhension les esclaves :

Mais qu'est ce qu'ils leur font ? C'est ainsi que vous traitez vos semblables ?

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

Effroyable et inhumain, voila ce que pensait Edias, l'odeur qui se dégageait de la cage piquait au nez et attestait de la durée de jachère des corps. La vue tout aussi agréable au yeux, montrait la décadence de l'être humain au travers de ces monstres. Ce qui choqua la fée.

Non les êtres humains ne sont pas tous comme ça, seulement certains... Et en voici certains spécimens. Suivons les. Il est temps de voir ce qu'il se passe. Mais discrètement.

vérifiant que ça cape est bien ajusté, il part à leur suite pour qu'ils restent à porté de sa vue. Discrètement et marchant dans la forêt qui borde la route. Pour observer combien ils étaient et si c'était dangereux.
[discrétion +16=33]

Puis faisant apparaître une flèche de lumière sur son arc, il tira sur le dernier de la file puis se cacha dans la foulée.

[pour toucher : 12+12=24, dégâts : différences (Pour toucher-CA) + 5+3 ]

Les gardes s'amusaient avec les esclaves, et les autres concentrés sur la route devant eux, inconscients des dangers pouvant survenir. Le Rôdeur se glissa donc à leur suite sans un bruit, telle une ombre parmi les ombres. Le gardes ne virent donc pas la silhouette qui se découpa dans leur dos, ni la virent invoquer une flèche lumineuse, viser soigneusement et tirer sur le dernier garde en retrait. Celui-ci s'effondra sans un bruit sur son cheval. Celui-ci sentant que plus personne ne le dirigeait, commença par se laisser distancer par les autres, pour finalement aller brouter sur le côté. D'un geste fluide, le Rôdeur se cachât dans les ombres et continua de suivre la troupe, alors que la flèche de lumière s'estompait dans les rayons du soleil.

[je tient a préciser que tu as un cul immense ...]

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

[je l'ai demandé plus haut, mais tu peux me dire combien il y a d'ennemie ? ]

Edias était fier d'avoir réussi le premier coup, il ne savait pas si il réussirait les suivant, mais il devait tenté pour la survit de ces esclave, il tenta de viser encore celui le plus à l'arrière une nouvelle fois puis ce cacha de nouveau.

[attaque :2+12=14, au cas où mdr : (Pour toucher-CA) + 5+4]
[discrétion : 14 +16 =30]

[il y en a 3 sur de chevaux, maintenant plus que deux, 4 sur la cage, et le cocher]

Fort de sa première attaque discrète et silencieuse, Edias tenta de réitérer son coup. La flèche de lumière traversa les ombres, se mêlant aux tâches de lumière éclairant le sous bois, et alla se ficher ... dans l'épaule du garde. Surpris celui-ci, tomba sous le choc. Par manque de chance, il tomba sur la flèche, ce qui ne fit qu'aggraver sa blessure. L'esclavagiste se débâti tant et si bien sous la douleur, que la flèche finit par ressortir de l'autre côté de son épaule. Ses cris de goret perçaient les tympans de l'elfe, qui, n'en pouvant plus se boucha les oreilles.

Le convoi s’arrêta donc précipitamment, les ordres claquant dans la tiédeur de l'après midi. Le dernier garde à cheval mit pied à terre et s'approcha de son congénère :

Arrête donc de crier comme un goret, gros lard ! Qu'est ce que tu as ? Tu as reçu un flèche dans le cul? se moqua-t-il, sous le regard des gardes plantés en haut du chariot.

Soudain un des gardes distingua, parmi les mouvement saccadés de douleurs de leur congénère, la flèche dépassant de son épaule :

Regardez ! Il s'est fait planté ! Il a une flèche dans l'épaule.

L'esclavagiste à terre stoppa son rire d'un coup. Il écarta les bras du garde à terre.

Merde, jura-t-il, retrouvez moi cette enflure tout de suite.

Tandis que les gardes sautaient à terre, dégainant épée et bouclier, l'esclavagiste se pencha et tenta d'arracher la flèche, mais le trait de lumière s'estompa sans laisser trace entre ses mains. Il arracha un morceau de tissus de la chemise crasseuse su garde à terre et la lui tendit.

Arrête l'hémorragie avec ça, je me charge du salaud qui a fait ça.

Il sorti son épée a deux mains et fit signe aux gardes de se déployer de chaque côtés de la route, 2 de chaque, tandis que lui remontait la route au milieu.

[refais moi un jet de discrétion]

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

[discrétion : 13+16=29]

"Merde !"

Ce disait Edias, caché derrière son arbre, il se fit petit et se cacha dans un buisson prêt à tirer une flèche dés que possible.

Quelques seconde plus tard, un de ceux la passa devant lui et continua tout droit, Edias attendit qu'il s'éloigne de quelques mètres, lui tira dans le dos et se cacha une nouvelle fois.
[attaque :10+12=22, dégâts : (Pour toucher-CA) + 5+5]
[discrétion : 13+16=29]

Cette fois-ci, ce fut un tir en pleine tête. La flèche dut trouver ce point particulier dans le cerveau qui fait que la cervelle explose, en tout cas, sa cervelle se répandit alentours, laissant libre la flèche de finir sa course dans un arbre, un peu plus loin. Son compagnon se retourna avec brusquerie et s'écria :

Il est de ce coté ! Faisons un cercle pour l'encercler !

Et le chef de répliquer :

Ta gueule, maintenant ce salopard connait nos plans et va se barrer.

[Il te reste deux tours avant de te faire encercler ...]

d6 Messages : 57 Date d'inscription : 09/10/2011

La cervelle éclata au loin, c'était répugnant, il n'aimait pas ça. En tout cas il était mal et avait entendu clairement l'homme débiter son plan.
Doucement mais surement Edias se déplaça discrètement en s'enfonçant plus profondément dans la forêt pour sortir du cercle que commençait les hommes à créer.
Sachant qu'il était dangereux de tirer tant qu'il était dans cette zone ils s’abstint de sortir une flèche.
Mais il fit comprendre à son serpent qu'il devait aller faire bouger un buisson plus loin derrière lui pour faire diversion, il espérait que ces boulets ne le tuerais pas, mais il ne fit pas partager cette pensé avec l'animal.

[discrétion 2+16=18]
[pour le serpent, je ne sais pas ce que tu veux mais voila mon jeter de dés : 14, les caractéristiques du serpent son sur la fiche perso].

Le serpent n'avait pas tout compris, mais il fit son boulot remarquablement bien. S'éloignant de quelque mètres du rôdeur, il réussit à faire bouger les buissons de telles sorte que les gardes s'éloignèrent de la position réelle d'Edias et de la fée. Les gardes abandonnèrent donc la poursuite assez rapidement, ne trouvant rien de concluant. Après avoir dépouillé leurs morts, ils se regroupèrent autour du chariot, pour soigner les blessés, et faire le point. L'atmosphère était morose, et personne ne parlait, sur le qui-vive.

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