La Chasse Sauvage

Malgré la promptitude d'Edias, l'assaut brutal du cavalier prend les deux aventuriers de court et celui charge Orik, faisant tournoyer sa lance. Cette attaque peu conventionnelle et l'avantage dû à une position surélevée permettent à l'elfe de blesser cruellement le nain, le barrant le flanc d'une longue balafre et lui blessant le bras. Serrant les dos pour surmonter la douleur, Orik s'apprête à riposter, pendant qu'Edias ajuste sa cible et que le cavalier fait tourner sa monture.

[Orik => touché deux fois, (29 et 27), perte de 10 et 6 PV, donc 16 au total]

Voyant sa vie arrachée par la lance de cet elfe, Orik perd connaissance.

[Perds plus de la moitié de sa vie : Jet vigueur : 5]

Edias décocha une flèche sur le cavalier et dans la foulé en encocha une seconde pour l'envoyer se figé dans la carcasse du cavalier, en tout cas c'est ce qu'il espérais. Puis Il encocha une troisièmes mais le cavalier bougea.

[Première flèche : 17 pour toucher si <9m (5 dégâts), 16 (4 dégâts) si >9m,
Deuxièmeflèche : 16 pour toucher si <9m (8 dégâts), 15 (7 dégâts) si >9m]

C'est avec une intense satisfaction qu'Edias vit ses deux flèches toucher leurs cibles. Sa joie fut cependant de courte durée lorsqu'il s'aperçut que la première passa au travers du cavalier comme s'il n'était fait que de brume. La seconde en revanche se planta dans la poitrine de l'elfe mais cela ne suffit pas à la désarçonner. Surpris, il délaissa le corps inanimé du nain pour jeter sa monture à l'assaut du temple devant lequel se tenait le rôdeur.

[Initiative 11. A vous de voir ensuite.
Orik, jet de vigueur. Si >15, tu te réveille à 4 PV et tu joues en dernier]

[Init 16]

Edias vit le cavalier foncé sur lui, courageux mais pas téméraire. Il décocha une flèches avant de se réfugier dans le temple et de fermer la porte derrière lui et de s'écarter au cas où le cheval ruais. Puis il ressorti une flèches qu'il encocha en entendant les bruits de sabot contre la porte.

[flèches : 26 pour toucher, 5 dégâts]

Malgré les bruits de cavalcade tout autour de lui, le sifflements des flèches, et les bruits de sabot sur la porte du temple, Orik ne se réveille pas.

[Jet de vigueur = 8]

La situation est tendue, Orik git sur le parvis, sans vie. Edias s'est retranché dans le temple, en attendant que cèdent les huis sous les assauts violents d'un cheval dément.

[Initiative si >19, à vous de jouer. Orik, même remarque qu'avant]

[Init 17]

Edias ne savait que faire, attendre était son seul moyen de défense, il avait pensé à tirer dans une vitre puis passer par cette dernière pour s'enfuir. Mais il avait peur qu'il y est d'autre cavalier dehors, dans le trouble il n'avait pas eu le temps d'analyser clairement la situation.

Des mines ... Il était retourné dans les mines ... Tous ses amis étaient là lui souriaient, le saluaient de la main. Du liquide doré commençait à suinter des parois, à remplir les cavernes !! Le liquide était a hauteur de genou et pas moyen de fuir. Puis ce fut la fin. Tout était doré autour de lui. Non, il n'était pas mort, une bulle d'oxygène le maintenait en vie dans le liquide, l'emprisonnant par la même occasion.

[Jet de vigueur = 7, je commence à en avoir marre de ces jets de merde ...]

Dans un fracas d'apocalypse, les portes de l'église cédèrent pour laisser place au cheval du cavalier, qui se précipita à l'intérieur en poussant un hennissement. Il ne portait plus son cavalier, probablement désarçonné par la flèche précédemment décochée. Cependant, l’œil acéré d'Edias lui permit de discerner une ombre discrète se faufilant derrière le cheval et se dissimulant derrière les bancs en bois. L'oeil globuleux du cheval parcouru le temple puis se fixa sur le rôdeur. Ayant repéré sa cible, il se dirigea sur lui dans la ferme intention de le piétiner.

[Edias, à toi de jouer. Le cheval te charge]

Edias vit le cheval foncé sur lui, il se concentra sur le haut des pattes avant du cheval pour le faire dégringoler. espérant ainsi que le cheval déséquilibré viendrait s’assommer contre l'autel et ne pourrait plus se relever

[Première flèche : 19 pour toucher, 10 dégâts
Deuxième flèche : 15 pour toucher, 12 dégâts]

[HRP/ je suis derrière l'autel, le cheval ne peut pas bénéficié de la charge je pense non ? ^^]

Mais la bulle rétrécissait jusqu'à épouser les formes du corps d'Orik, l’empêchant petit à petit de bouger. Orik se débattit de plus en plus, et là il entendit un hennissement de cheval, n'appartenant d'aucune manière à son cauchemar. Il se réveilla en sursaut regardant tout autour de lui. Les portes du temples étaient défoncées et il ne pouvait voir la personne sur laquelle le cheval chargeait. Se sachant proche de la limite, il invoqua ses pouvoirs de Paladin et utilisa une Imposition des Mains sur lui même et chargea le cheval.

[jet de vigueur = 21, 6 points de vie recouvrés PV=10, init = 16]

Orik se précipita à l'intérieur du temple, ramassant sa hache au passage, et arriva à temps pour voir le personnage avec qui il avait entamé la conversation un peu plus tôt décocher deux flèches à bout portant sur un cheval qui s'écroula devant l'autel, pour finalement ne plus bouger. Cette menace éliminée, le nain songea qu'il n'avait pas vu le corps du cavalier en entrant. Il n'eut que le temps de se retourner pour parer la première attaque de l'elfe maintenant à pied. La deuxième fut encore plus violente que la précédente, mais l'elfe semblait plus à l'aise sur sa monture, et la puissance de son coup l’amena à faire un pas qu'Orik interpréta comme une faille dans la garde de son adversaire. Portant un terrible coup en quinte, il fendit le crâne de son adversaire qui s'effondra, barbouillant le sol de cervelle et de sang. Le calme revint aussitôt, calmant les ardeurs guerrières et pacifiant les âmes.

[Echec critique de l'elfe]

Edias vit le cheval s'écrouler devant lui, laissant dévoilé un nain surpris attaqué a son insu par un elfe derrière lui.
Attention !
Le nain réagi bien et par un jeu d'arme que le rôdeur avait du mal à interprété, L'elfe finit par s'écrouler. Par pitié pour le cheval encore vivant et souffrant le martyr, Edias tranchant la gorge du cheval avec son cimeterre.

Ça va ? Vous n'avez rien ? M'aiderez vous a nettoyer ce lieu saint ? dit le nain. A ces mots le rôdeur leva les yeux, vers le nain. Nettoya son cimeterre sur le pelage du cheval.

Non ça va, mais vos mieux pas trop trainer ici. Regardez si la flèche dans son torse est intacte s'il vous plait.J'ai pas un stock illimité.
Mais vous pensez pouvoir sortir le cheval d'ici ? vous êtes sérieux ?

Edias fit de même sur celle planté dans le cheval.

[HRP/ 2 flèches plantées dans le cheval et peut être 1ou2 dans l'elfe]

[Jet pour pister les cavaliers : 14 sans rien ajouté, je sais pas comment ça marche ^^]

Alors allons y

Ajustant son carquois et remettant en place l'arc pour qu'il soit à porter de main au cas où, mais qu'il ne le gêne pas pendant la recherche, il partir avec le nain dans la direction qui lui semblait la bonne

Dans un premier temps, Edias se contente de faire confiance à sa mémoire et dirige ses pas dans la direction qu'avaient suivie les cavaliers. Se fiant à son bon sens, il se dit qu'ils emprunteront les rues les plus larges par commodité. Suivant cette logique, il descend l'avenue principale où échoppes et autres étals sont déserts et abandonnés, pas une trace des habitants et des marchands. Cette lugubre rue mène à la sortie de Lorwyyn, et à quelques dizaines de mètres de celle ci s'étend la mystérieuse forêt. Comme il s'y attendait, les traces des cavaliers plongent au cœur des frondaisons. Edias éprouve toutefois un sentiment étrange, car il ne reconnaît pas le lieu qui lui a servi de gîte pendant toutes ces années. En effet, les arbres semblent changés, voir vivant, enfin, encore plus que d'habitude. Une intelligence profonde et lente sourde de ces vénérables écorces, chose inhabituelle chez des végétaux. Quelque chose d'étrange est à l'oeuvre ici, une force maléfique donne des ailes à ces créatures, et les dressent contre vous.

[Il y a une réplique du seigneur des anneaux, trouvez la]

Considérant Edias, qui s'était arrêté devant la forêt, Orik s'exclama, en caressant sa barbe rousse :

Eh bien ! Qu'attendons nous ? Plus vite nous serons entrés, plus vite j'en aurais finis avec ces satanés elfes et plus vite nous serons sortis de cette fichue forêt !

Dégainant sa hache, Orik s’avançât d'un pas décidé vers la foret.

[je suppose que c'est la dernière phrase ...]